Inscription à l'infolettre

Vous désirez recevoir de l'information sur les nouveautés, les sujets traités, les dossiers thématiques à venir de Magazine RMI? Abonnez-vous dès maintenant!

Voici un exemple de message à l'utilisateur

Entrevue Environnement Restauration minière

2019 — volume 5, numéro 6

Restauration de l’ancien site minier Manitou : la force du partenariat entre l’État et l’entreprise privée

Focus : sites miniers abandonnés et restauration

Le site Manitou est localisé à environ 15 km au sud-est de la ville de Val-d’Or en Abitibi-Témiscamingue. Le gisement de sulfures de zinc et de cuivre exploité entre 1942 et 1979 a généré près de 11 millions de tonnes (Mt) de résidus miniers. Depuis 2003, à la suite de la faillite de son dernier propriétaire, le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles (MERN) a pris en charge ce site minier orphelin. Avec une superficie qui s’étend sur près de 200 hectares, le site Manitou présente un important défi de restauration. La dispersion et l’altération des résidus générateurs de drainage minier acide (DMA) ont eu un impact majeur sur le milieu récepteur, en particulier sur la rivière Bourlamaque. Dès lors, l’État considère qu’il y a urgence à restaurer ce site et plusieurs scénarios sont étudiés pour sa restauration. L’une des solutions envisagées à l’époque et finalement retenue est l’utilisation des résidus d’usinage de la mine Goldex exploitée par la société Agnico Eagle limitée (AE). Étant donné la distance séparant les deux sites et la composition des résidus, la mine située dans le secteur ouest de la ville de Val-d’Or est une solution logique et des plus efficientes pour restaurer le site Manitou.

Fermer X
Fermer X

Inscription à l'infolettre

Voici un exemple de message à l'utilisateur