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Histoire et société

2019 — volume 5, numéro 4

Une odyssée minière centenaire : les camps miniers de Chapais et de Chibougamau

Focus : Camp minier de Chibougamau

Dès le XVIIe siècle, les missionnaires Jésuites accompagnés des Autochtones parcouraient la région de Chapais-Chibougamau jusqu’à la Baie-James en suivant la « route des fourrures ». Cette route d’eau partait du fleuve Saint-Laurent, montait la rivière Saguenay, empruntait le réseau hydrographique des lacs Saint-Jean, Nicabau, Chibougamau et Mistassini, où la compagnie de la Baie d’Hudson avait établi un poste de traite pour, finalement, atteindre la Baie James et la Baie d’Hudson en suivant la rivière Rupert. En 1870, James Richardson, géologue envoyé par le directeur des recherches géologiques pour le Canada, mentionne pour la première fois les richesses minérales de la région, en particulier les indices de cuivre sur la rive ouest du lac Chibougamau. Dès lors des missionnaires, des prospecteurs et des géologues visitent de façon intermittente la région à la recherche d’indices minéralisés.

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